Rencontre avec l'artiste parisien Bishop à l'occasion de la collaboration avec la maison.
Comment es-tu devenu Bishop ?
J'ai toujours fait de la peinture, du dessin, de manière assez instinctive et habituelle. En parallèle, j'ai fait une école d'arts graphiques à Paris où nous avons créé un collectif avec douze amis que j'ai rencontré là-bas, qui s'appelait JeanSpezial. Quand on ne se retrouvait pas autour de barbecues pantagruéliques, on peignait sur de grands murs, on faisait des expos, on était hyperactifs. C'était un joyeux melting-pot. J'aime bien le mélange de techniques, de textures, la répétition, je recueille beaucoup de matériaux qui me servent à composer des oeuvres, et depuis plus de dix ans maintenant, je suis Bishop.
Comment as-tu rencontré agnès b. ?
Il y a plus de 15 ans j'adorais aller à la galerie du Jour rue Quincampoix, il y avait beaucoup d'expos de street art donc j'ai toujours un peu suivi ce qu'Agnès faisait. Quand elle a ouvert la Fab., je suis allé à plusieurs événements. Je sais qu'Agnès organise souvent des expos autour des pièces de sa collection privée et comme je sais que ça vaut souvent le détour, qu'on y croise des pièces folles, j'essaie d'y aller quand je peux. Au gré des rencontres, j'ai eu l'occasion de montrer mon boulot. J'ai collaboré avec la marque une première fois il y a deux ans avec d'un t-shirt d'artiste. Aujourd'hui ça prend une autre ampleur.
Comment vous avez travaillé autour de cette collection ?
Comme je suis assez productif, je leur ai fourni de nombreux visuels et oeuvres que j'avais faits, et ils se sont amusés avec. Il y a des pièces pour homme, femme et pour enfants. Et comme j'avais envie d'aller encore plus loin, de prolonger l'expérience pour les gens, j'ai crée des NFT (des oeuvres numériques uniques) où je donne vie à chaque motif de la collection. C'est une immersion qui laisse libre cours à notre imagination.
Découvrez les produits de la collaboration.
Ce QR code permet d'accéder à la collection de NFT liée à la collaboration.
